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Le professeur Perronne au Parlement du Luxembourg - 12.01.2022
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Version du 21 janvier 2022 à 09:16

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Le professeur Perronne au Parlement du Luxembourg - 12.01.2022

Sources

Transcription

(transcription auto en cours de correction)

Monsieur vous avez la parole.

Merci beaucoup donc Madame la présidente, Madame la ministre et Mesdames et Messieurs les députés. Je suis très honoré de venir aujourd'hui. Tout d'abord je voudrais juste rappeler mon expérience professionnelle. En présidant notamment la commission des maladies transmissibles du haut conseil de la santé publique, j'ai conseillé différents gouvernements français, pendant quinze ans, sur la gestion des crises sanitaires et des épidémies. J'ai été président pendant des années du comité technique des vaccinations, donc j'ai présidé à la politique vaccinale française. Donc je ne suis pas du tout un antivax comme certains médias l'ont dit. Je suis à fond convaincu de l'intérêt de la vaccination et j'ai même été vice-président à l'OMS, et ce pendant des années, du groupe d'experts pour les vaccins pour toute la région Euro de l'OMS, qui est beaucoup plus large que l'Union européenne parce que la zone Euro de l'OMS, ça inclut la Russie, toutes les républiques d'Asie centrale la Turquie, Israël. C'est la grande Europe de l'OMS. Donc voilà mon expérience à la fois des épidémies et de la vaccination.

J'aurais de messages principaux à vous dire dans cette crise. C'est qu'on a bafoué la science et on a bafoué le droit.

On a bafoué la science parce que toutes les décisions de nos politiques basées sur des experts qui malheureusement, on le sait maintenant c'est publique, ont des conflits d'intérêts majeurs avec l'industrie pharmaceutique. Quand ils prennent des décisions en catimini, ils fournissent zéro référence scientifique. Moi-même je connaissais très bien Jean-François Delfraissy, le président du conseil scientifique à l'Élysée parce-que je l'ai connu quand il était interne en 1978. Je l'ai appelé il y a quelques semaines. J'ai dit écoute Jean-François : « on n'est pas d'accord mais j'aimerais qu'il y ait un débat contradictoire. Parce-que tu sors plein d'avis, comme ça, mais on ne connaît pas tes sources. » Et là il a refusé le débat. Et c'est pour ça que je suis très à l'aise parce que vous savez ça fait deux ans que je me bats dans les médias français.

J'ai écrit deux livres ils n'ont jamais été contestés sur le plan scientifique. Dans mes livres : des dizaines de pages de preuve. Tout ce que je dis est sourcé. Je n'ai jamais changé d'avis depuis deux ans et personne ne m'a mis en défaut sur une seule de mes paroles. Même si les médias tous les jours disent que je suis complotiste. Parce que c'est le seul mot qu'ils ont. Parce qu'ils ne trouvent pas d'arguments. Alors donc le manque de preuves scientifiques.

Ensuite quand il y eut des soi-disant preuves scientifiques on a vu les fraudes s'accumuler. Les publications dans les plus grands journaux du monde qui étaient frauduleuses. Vous souvenez tous du LancetGate quand on a voulu discréditer la chloroquine. Des lobbys ont payé une équipe et un journal pour sortir une étude frauduleuses qui a tout bloqué dans le monde entier.

Plus récemment vous l'avez vu dans le British Medical Journal, il y a eu le PfizerGate, qui a montré qu'une partie des études de Pfizer pour faire obtenir l'autorisation de leur soi-disant vaccins était frauduleuse.

En France les médias n'en n'ont jamais parlé à part un petit encart dans le Figaro. Ça c'est quand même assez scandaleux alors que quand le LancetGate est sorti tous les médias en parlaient.

Les conflits d'intérêts sont majeurs, que ce soit avec les experts que ce soit aussi avec les médias. Et ça c'est public c'est pas c'est pas des fake news c'est pas moi qui le dit le gouvernement français en plus des dizaines de millions d'euros qu'il donne chaque année aux médias principaux depuis deux ans a donné 3 milliards d'euros aux médias. Trois milliards d'euros. Alors soi-disant les caisses de la France sont vides, on donne 3 milliards d'euros aux médias : ça fait beaucoup d'hôpitaux qu'on pourrait construire.

Ensuite ces produits qu'on appelle vaccin. J'étais considéré pendant des années comme un spécialiste des vaccins en France, en Europe, dans le monde et là je crois que le plus grand scandale de cette épidémie c'est de nous avoir fait croire que c'était des vaccins. Ce ne sont pas du tout des vaccins. D'ailleurs la preuve maintenant, on sait qu'ils ne marchent pas : ils n'empêchent pas d'être contaminé, ils n'empêchent pas de faire des formes graves. D'ailleurs maintenant les pays qui ont le plus vacciné, plus de 90% des gens en réanimation sont des doubles triples vaccinés. Ça n'empêche pas de transmettre. J'ai jamais vu ça. C'est la preuve formelle que ce ne sont pas des vaccins.

Donc faut arrêter ce délire de vouloir vacciner pour une maladie qui ne tue presque plus. Où sont les morts ? Alors il y a beaucoup de chiffres qui ont été gonflés, parce qu'avec ces PCR qui amplifient au delà de ce qui est autorisé scientifiquement d'habitude, on a gonflé les chiffres de l'épidémie, on a gonflé les chiffres de morts parce que les gens qui arrivent à l'hôpital pour autre chose, et bien, s'ils avaient un test positif on disait qu'ils était mort du covid, alors qu'ils étaient mort de tout à fait autre chose.

Ensuite ce qui m'a énormément choqué en tant que spécialiste des vaccins, c'est qu'un vaccin normal il faut dix ans pour qu'il soit autorisé.

En plus quand je vois le scandale des femmes enceintes : d'habitude il faut 10 ans après l'autorisation définitive de commercialisation pour qu'il soit autorisé chez une femme enceinte en ayant suffisamment de recul. Là en quelques mois c'était autorisé.

Ce qui me choque c'est l'absence d'études scientifiques sur les décisions. Quand le gouvernement dit il faut trois doses bientôt quatre doses, cinq doses, six doses, sept doses, on sait pas : il y a zéro données scientifiques pour appuyer ces décisions.

Ce qui me choque beaucoup c'est que l'EMA, l'agence européenne des médicaments a avoué, c'était l'été dernier, qu'ils ne connaissaient pas la composition total de ces vaccins. Et pourtant ils l'autorisent.

Ce qu'on sait maintenant officiellement d'après les bases de données c'est que le vaccin fait 36 000 morts en Europe, 25 000 aux États-Unis, y compris des centaines de sportifs. Des oncologues aux États-Unis ont montré qu'il y avait une augmentation des morts par cancer après la vaccination.

Et je crois que le plus bel exemple c'est que les pays qui n'ont pas vaccinés ou qui ont arrêté la vaccination sont les pays où l'épidémie est terminée. Ça c'est très fort, on peut voir l'exemple de l'Inde.

Et le dernier mot c'est sur le droit. Je dirais que tout est illégal puisque comme ça a été dit tout à l'heure, une autorisation de mise en marché conditionnelle ne peut être obtenue que si on a démontré qu'il n'y avait pas traitement efficace, or il y a des centaines de publications scientifiques : l'exemple de l'inde et d'autres pays qui montrent qu'il y a des traitements efficaces.

Et surtout le plus important c'est qu'on est toujours en phase 3, expérimentale et que dans les traités internationaux y compris dans le code de Nuremberg c'est totalement interdit de faire une obligation sur un produit expérimental. Donc tout État, tout parlementaire qui vote pour une obligation sur un produit expérimental peut être attaqué à titre personnel au pénal à un tribunal international pour une faute extrêmement grave mettant en danger la vie des êtres humains.

Et puisqu'on parle des enfants, je termine là dessus, il y a des enfants qui meurent du vaccin et maintenant on sait que ceux qui meurent du vaccin sont plus nombreux que ceux qui meurent du covid. Il y a quasiment zéro mort du covid. Dans mon entourage personnel, je connaît une jeune fille de 17 ans, une jeune fille de 20 ans qui sont mortes huit jours après le vaccin de l'infarctus du myocarde. Moi j'ai jamais vu de ma carrière, un infarctus du myocarde à l'âge de 20 ans et une autre d'une embolie pulmonaire.

Donc voilà, je vous demande un moratoire sur ces produits qui ne sont pas des vaccins qui n'ont pas été évaluées de façon correcte, dont on aura les évaluations définitives dans plusieurs années.

Voilà, je vous remercie.