Corona-crise
Je vous partage ici ma compréhension du moment de ce que nous vivons depuis un an. C'est donc, bien-sûr, susceptible d'évoluer dans le temps.
« C'est la crise » - 9 février 2021
Depuis mon enfance, je suis bercé par l'expression "c'est la crise".
Là, depuis un an, il me semble que nous atteignons un sommet, la reine des crises (méritant une couronne !) : la "corona-crise".
Et en fait, j'ai l'impression d'avoir depuis peu, compris que le narratif officiel ne tient en ce moment qu'à un fil, tendu comme un string, prêt à lâcher. Et ce fil, c'est celui de notre crédulité.
Exemple : depuis quelques mois, la thèse dominante des médias officiels, nous répète en boucle que nous ne pourrons recouvrir nos libertés fondamentales que quand nous serons 7 milliards d'êtres humains vaccinés. Or, il se trouve que, pour pouvoir légalement nous vacciner avec les vaccins conçus à cette occasion, comme ils n'ont pas été au bout des différentes phases de tests règlementaires, pour pouvoir les administrer, il faut qu'il n'existe pas de thérapie alternative. D'où l'acharnement à discréditer toute autre forme de thérapie pour cette maladie ! Car s'il n'existe pas d'autre thérapie, il devient légal de dispenser massivement un vaccin à une population mondiale, devenue officiellement cobaye d'un nouveau traitement génique, dont on n'est plus obligé de garantir qu'il a des effets thérapeutiques. Pour accepter d'être officiellement cobaye de ces traitements encore à l'essai, il est impératif de nous faire croire qu'il n'y a pas de traitement alternatif. C'est même une obligation légale : pour pouvoir administrer en population générale, un vaccin encore à l'essai, il faut qu'il n'existe pas de traitement alternatif.
Heureusement, quelques 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens, fédérés au sein d'un collectif intitulé "Coordination Santé Libre", ont publié le 31 janvier 2021 un protocole thérapeutique :
En voici la synthèse en quelques diapos :
Les collectifs de la Coordination Santé Libre :
- L'appel du 9 janvier 2021
- Le Collectif Reinfo Covid - Un éclairage différent et nécessaire
- Laissons les médecins prescrire
Aide-mémoire pour y faire face - 4 mars 2021
J'ai eu la chance de pouvoir choisir et exercer pendant 30 ans un métier réputé stressant. D'abord formé sur la tas à gérer ce stress, puis rapidement exposé a divers baptêmes du feu (guerres du golf, prises d'otages de collègues sur le même type d'avion que le mien, à Koweit City, Alger puis Marseille, etc...) j'ai finalement même eu le droit de bénéficier d'une formation à la gestion du stress pour pouvoir former à mon tour les directeurs d'AF appelés à siéger en cellule de crise. Puis la création du CIRP et la formation de collègues dans ce cadre (accompagnement de navigants ayant vécu un événement potentiellement traumatisant).
Vous avez vu, ça m'empêche pas d'être stressé comme tout le monde : )
J'ai quand même envie de vous partager ce que j'en retiens aujourd'hui. La principale information que j'en retiens, c'est notre tendance spontanée à être dans le déni du stress que nous pouvons vivre.
Si on reste longtemps dans le déni, notre corps fini par nous envoyer des signaux si forts qu'on ne peux plus les ignorer. On ne fait alors pas toujours le lien avec les causes originelles du stress, lui-même à l'origine de ces signaux.
Quel rapport avec nos sujets du moment me direz-vous ?
Et bien j'ai l'impression que nous sommes collectivement (pas que dans notre famille !) dans le déni du stress que nous vivons depuis un an.
Alors que faire ? Et bien probablement ce dont vous parlez : « ... les choses qui [nous] font du bien en ce moment ? Qui [nous] font [nous] sentir joyeux ... ».
Récemment j'ai trouvé une belle manière de le formuler dans un livre :
1. le temps : ralentir
2. la nature : y passer plus de temps
3. l'amour universel : redécouvrir le sacré et l’émotion qui lui correspond, la joie.
Moi, avant, j'avais fait une synthèse que j'avais résumé (pour la retrouver plus facilement) en une phrase que je vous ai probablement déjà donnée (désolé pour la redite pour certain.e.s !) :
« Créer un espace pour accueillir l'intensité de ce qui se vit, jusqu'à contacter la beauté des aspirations universelles en chacun.e. »
Et donc tout ça, en fait, je le vois comme un fil d'Ariane, pour nous aider à traverser les étapes par lesquelles nous passons tou.te.s habituellement, dans ces moments stressants :
1. le déni
2. la colère
3. le marchandage
4. la dépression
5. l'acceptation.
Et c'est seulement arrivé enfin à la cinquième étape que nous retrouvons l'énergie et la disponibilité pour mobiliser notre énergie pour agir et contribuer, dans la mesure de nos moyens, à changer les conditions à l'origine du stress initial.
Conclusion : chacun.e est souverain.e pour choisir où il/elle place son énergie, en fonction des étapes ou il/elle se situe, avec notre corps, comme vient de le rappeler Florian, comme meilleur radar intérieur pour nous indiquer où nous en sommes, et nos proches comme meilleurs éducateurs : )