Différences entre les versions de « Corona-crise »

61 octets ajoutés ,  22 avril 2021 à 09:54
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Là, depuis un an, il me semble que nous atteignons un sommet, la reine des crises (méritant une couronne !) : la "corona-crise".
Là, depuis un an, il me semble que nous atteignons un sommet, la reine des crises (méritant une couronne !) : la "corona-crise".


Et en fait, j'ai l'impression d'avoir, depuis peu, compris que le narratif officiel ne tient en ce moment qu'à un fil, tendu comme un string, prêt à lâcher. Et ce fil, c'est celui de notre vulnérabilité au récit qui nous livré : notre tendance à y croire sans solliciter notre sens critique.
Et en fait, j'ai l'impression d'avoir, depuis peu, compris que le narratif officiel ne tient en ce moment qu'à un fil, tendu comme un string, prêt à lâcher. Et ce fil, c'est celui de notre vulnérabilité au récit qui nous livré : notre tendance à y croire sans solliciter notre sens critique. Si ça n'était pas perçu comme péjoratif, on pourrait parler de notre crédulité.


Exemple : depuis quelques mois, la thèse dominante des médias officiels, nous répète en boucle que nous ne pourrons recouvrir nos libertés fondamentales que quand nous serons 7 milliards d'êtres humains vaccinés. Or, il se trouve que, pour pouvoir légalement nous vacciner avec les vaccins conçus à cette occasion, comme ils n'ont pas été au bout des différentes phases de tests règlementaires, pour pouvoir les administrer, il faut qu'il n'existe pas de thérapie alternative. D'où l'acharnement à discréditer toute autre forme de thérapie pour cette maladie ! Car s'il n'existe pas d'autre thérapie, il devient légal de dispenser massivement un vaccin à une population mondiale, devenue officiellement cobaye d'un nouveau traitement génique, dont on n'est plus obligé de garantir qu'il a des effets thérapeutiques. Pour nous faire accepter ces traitements encore à l'essai, il est impératif de nous faire croire qu'il n'y a pas de traitement alternatif.
Exemple : depuis quelques mois, la thèse dominante des médias officiels, nous répète en boucle que nous ne pourrons recouvrir nos libertés fondamentales que quand nous serons 7 milliards d'êtres humains vaccinés. Or, il se trouve que, pour pouvoir légalement nous vacciner avec les vaccins conçus à cette occasion, comme ils n'ont pas été au bout des différentes phases de tests règlementaires, il faut qu'il n'existe pas de thérapie alternative. D'où l'acharnement à discréditer toute autre forme de thérapie pour cette maladie ! Car s'il n'existe pas d'autre thérapie, il devient légal de dispenser massivement un vaccin à une population mondiale, devenue officiellement cobaye d'un nouveau traitement génique, dont on n'est plus obligé de garantir qu'il a des effets thérapeutiques. Pour nous faire accepter ces injections d'OGM encore à l'essai, il est impératif de nous faire croire qu'il n'y a pas de traitement alternatif.


Heureusement, quelques 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens, fédérés au sein d'un collectif intitulé "Coordination Santé Libre", ont publié le 31 janvier 2021 un protocole thérapeutique :
Heureusement, quelques 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens, fédérés au sein d'un collectif intitulé "Coordination Santé Libre", ont publié le 31 janvier 2021 un protocole thérapeutique :
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