Différences entre les versions de « Corona-crise »

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6 octets ajoutés ,  14 février 2021 à 14:52
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Et en fait, j'ai l'impression d'avoir depuis peu, compris que le narratif officiel ne tient en ce moment qu'à un fil, tendu comme un string, prêt à lâcher. Et ce fil, c'est celui de notre crédulité.
Et en fait, j'ai l'impression d'avoir depuis peu, compris que le narratif officiel ne tient en ce moment qu'à un fil, tendu comme un string, prêt à lâcher. Et ce fil, c'est celui de notre crédulité.


Exemple : depuis quelques mois, la thèse dominante des médias officiels, nous répète en boucle que nous ne pourrons recouvrir nos libertés fondamentales que quand nous serons 7 milliards d'êtres humains vaccinés. Or, il se trouve que pouvoir légalement nous vacciner avec les vaccins conçus à cette occasion, comme ils n'ont pas été au bout des différentes phases de tests règlementaires, pour pouvoir les administrer, il faut qu'il n'existe pas de thérapie alternative. D'où l'acharnement à discréditer toute autre forme de thérapie pour cette maladie ! Car s'il n'existe pas d'autre thérapie, il devient légal de dispenser massivement un vaccin à une population mondiale, devenue officiellement cobaye d'un nouveau traitement génique, dont on n'est plus obligé de garantir qu'il a des effets thérapeutiques. Pour accepter d'être officiellement cobaye de ces traitements encore à l'essai, il est impératif de nous faire croire qu'il n'y a pas de traitement alternatif. C'est même une obligation légale : pour pouvoir administrer en population générale, un vaccin encore à l'essai, il faut qu'il n'existe pas de traitement alternatif.
Exemple : depuis quelques mois, la thèse dominante des médias officiels, nous répète en boucle que nous ne pourrons recouvrir nos libertés fondamentales que quand nous serons 7 milliards d'êtres humains vaccinés. Or, il se trouve que, pour pouvoir légalement nous vacciner avec les vaccins conçus à cette occasion, comme ils n'ont pas été au bout des différentes phases de tests règlementaires, pour pouvoir les administrer, il faut qu'il n'existe pas de thérapie alternative. D'où l'acharnement à discréditer toute autre forme de thérapie pour cette maladie ! Car s'il n'existe pas d'autre thérapie, il devient légal de dispenser massivement un vaccin à une population mondiale, devenue officiellement cobaye d'un nouveau traitement génique, dont on n'est plus obligé de garantir qu'il a des effets thérapeutiques. Pour accepter d'être officiellement cobaye de ces traitements encore à l'essai, il est impératif de nous faire croire qu'il n'y a pas de traitement alternatif. C'est même une obligation légale : pour pouvoir administrer en population générale, un vaccin encore à l'essai, il faut qu'il n'existe pas de traitement alternatif.


Heureusement, quelques 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens, fédérés au sein d'un collectif intitulé "Coordination Santé Libre", ont publié le 31 janvier 2021 un protocole thérapeutique :
Heureusement, quelques 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens, fédérés au sein d'un collectif intitulé "Coordination Santé Libre", ont publié le 31 janvier 2021 un protocole thérapeutique :
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