Différences entre les versions de « Mattias Desmet/2024.07.29 »

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Revenons à la réaction du grand public et à la légion de fantassins mondialistes. Ils ont complètement raté leur coup. C'est ce que nous pouvons conclure de l'argument ci-dessus. Et nous pouvons ajouter la réaction des producteurs de la cérémonie d'ouverture. Ils ont confirmé dans une déclaration officielle, contredisant les affirmations du directeur artistique, que cette partie de la cérémonie parodiait effectivement la Cène. Je dirais : nous pouvons arriver à une conclusion sur cette question. Quand ça ressemble à un canard, que ça nage comme un canard et que ça cancane comme un canard, alors c'est probablement un canard.
Revenons à la réaction du grand public et à la légion de fantassins mondialistes. Ils ont complètement raté leur coup. C'est ce que nous pouvons conclure de l'argument ci-dessus. Et nous pouvons ajouter la réaction des producteurs de la cérémonie d'ouverture. Ils ont confirmé dans une déclaration officielle, contredisant les affirmations du directeur artistique, que cette partie de la cérémonie parodiait effectivement la Cène. Je dirais : nous pouvons arriver à une conclusion sur cette question. Quand ça ressemble à un canard, que ça nage comme un canard et que ça cancane comme un canard, alors c'est probablement un canard.


Pour l'instant, le courant dominant reste silencieux. Ce qui est remarquable, c'est leur incapacité à admettre leurs erreurs. Cette incapacité est en soi humaine, mais elle est très prononcée chez les représentants du récit dominant (une incapacité typique des systèmes totalitaires). La crise de la corona est exemplaire à cet égard. Chaque aspect crucial du récit dominant s'est avéré faux : l'origine du virus, la mortalité du virus, l'efficacité des mesures, l'efficacité des vaccins, les effets secondaires (soi-disant inexistants) des vaccins, et ainsi de suite, nommez-le et le récit dominant s'est radicalement trompé.
Pour l'instant, le courant dominant reste silencieux. Ce qui est remarquable, c'est leur incapacité à admettre leurs erreurs. Cette incapacité est en soi humaine, mais elle est très prononcée chez les représentants du récit dominant (une incapacité typique des systèmes totalitaires). La crise corona est exemplaire à cet égard. Chaque aspect crucial du récit dominant s'est avéré faux : l'origine du virus, la mortalité du virus, l'efficacité des mesures, l'efficacité des vaccins, les effets secondaires (soi-disant inexistants) des vaccins, et ainsi de suite, nommez-le et le récit dominant s'est radicalement trompé.


Plus personne ne peut vraiment en douter. Mais combien de vérificateurs de faits et de journalistes grand public avez-vous entendu admettre qu'ils avaient radicalement supprimé la vérité au nom de la vérité ? Combien en avez-vous entendu s'excuser d'avoir dégradé des personnes en citoyens de seconde zone sur la base de pseudosciences et de "fake news" ? Nous ne pouvons que conclure : ceux qui se couronnent ambassadeurs de la vérité et se présentent comme des combattants de la lutte contre les fausses nouvelles et la désinformation suppriment la vérité par un flot de fausses nouvelles et de désinformation.
Plus personne ne peut vraiment en douter. Mais combien de vérificateurs de faits et de journalistes grand public avez-vous entendu admettre qu'ils avaient radicalement supprimé la vérité au nom de la vérité ? Combien en avez-vous entendu s'excuser d'avoir dégradé des personnes en citoyens de seconde zone sur la base de pseudosciences et de "fake news" ? Nous ne pouvons que conclure : ceux qui se couronnent ambassadeurs de la vérité et se présentent comme des combattants de la lutte contre les fausses nouvelles et la désinformation suppriment la vérité par un flot de fausses nouvelles et de désinformation.


Le manque d'intérêt pour les faits dans les systèmes totalitaires est extraordinairement fascinant d'un point de vue psychologique. En Allemagne, un dénonciateur de l'Institut Koch a révélé l'ampleur de la tromperie du gouvernement et des experts. Ces révélations ne laissent guère de place à l'imagination : l'ensemble de la politique allemande de lutte contre la corruption repose sur un mépris cynique des faits et de la science et n'est qu'un vaste coup d'État visant à donner à la société une tournure technocratique. Et il n'y a guère de raison de penser que la politique des autres pays était fondamentalement différente de celle de l'Allemagne.
Le manque d'intérêt pour les faits dans les systèmes totalitaires est extraordinairement fascinant d'un point de vue psychologique. En Allemagne, un dénonciateur de l'Institut Koch a révélé l'ampleur de la tromperie du gouvernement et des experts. Ces révélations ne laissent guère de place à l'imagination : l'ensemble de la politique allemande au sujet du corona repose sur un mépris cynique des faits et de la science et n'est qu'un vaste coup d'État visant à donner à la société une tournure technocratique. Et il n'y a guère de raison de penser que la politique des autres pays était fondamentalement différente de celle de l'Allemagne.


En Allemagne, les médias grand public en ont brièvement fait leurs choux gras. En soi, c'est une bonne chose. Mais en dehors de l'Allemagne, il n'y a eu pratiquement aucun reportage. Qu'on se le dise : le récit de la crise sociétale la plus importante de la modernité s'avère aussi peu fiable qu'un seau, et il ne suscite guère d'intérêt dans les médias qui ont conduit la société à la ruine économique, psychologique, physique et éthique avec cette histoire. En effet : "Ce n'est ni l'amour, ni la haine, mais la passion de l'ignorance qui est la passion la plus fondamentale de l'homme".
En Allemagne, les médias grand public en ont brièvement fait leurs choux gras. En soi, c'est une bonne chose. Mais en dehors de l'Allemagne, il n'y a eu pratiquement aucun reportage. Qu'on se le dise : le récit de la crise sociétale la plus importante de la modernité s'avère aussi peu fiable qu'un seau, et il ne suscite guère d'intérêt dans les médias qui ont conduit la société à la ruine économique, psychologique, physique et éthique avec cette histoire. En effet : "Ce n'est ni l'amour, ni la haine, mais la passion de l'ignorance qui est la passion la plus fondamentale de l'homme".
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